On apprend à se méfier des unanimités suspectes et des engouements factices ; mais on sait aussi qu’il est des évènements, des destins, des trajectoires humaines qui, parce qu’elles ont vaincu de dangereux adversaires, surmonté de redoutables obstacles et transformé les dures réalités, forcent le respect, l’admiration et les hommages.
Que peuvent encore des mots, des mots, les miens en tous cas, pour saluer Nelson Mandela ? Je préfère vous donner à voir la belle statue, exposée à La Citadelle de Besançon cet été, consacrée à Nelson Mandela par le Sénégalais Ousmane Sow.
6 décembre 2013