Notre chef de l’Etat Emmanuel Macron affirme « emmerder » les non-vaccinés ; notre prix Nobel de littérature J.M.G Le Clézio qualifia de « dégueulasse » la politique migratoire du susnommé… alors je m’autorise, moi, à utiliser le qualificatif « gros cons ».
J’en use très rarement, vous me l’accorderez, mais ici je le crois à bon escient :
C’était lors d’un récent journal d’info, le 28’ sur Arte : Salomé SAQUE, une journaliste lucide, exposait comment la COP 26 a esquivé les impératifs de l’urgence climatique : posément, sérieusement, exemples à l’appui.
Autour d’elle, pouffant, ricanant, se gaussant (je vous laisse écouter leurs propos précis), trois gros cons :
- à sa droite, Jean QUATREMER, gros con sévissant depuis 1984 au quotidien Libération (il soutiendra Macron en 2017 ; puis insultera chaque semaine le mouvement des Gilets jaunes).
- à sa gauche, Etienne GERNELLE, gros con de rédacteur en chef de l’hebdo Le Point ; débute lui aussi à Libération, mais depuis il plaide pour des réformes libéralo-macronistes de notre économie française, comparant la France à une « petite Union soviétique ».
- en face, Renaud DELY, gros con que France Info nous inflige chaque matin… Il débute lui aussi à Libération pour ensuite rejoindre l’Obs (décidément la fausse gôche va bien à leurs têtes de gros cons, on appelle ça le pluralisme ?). On ignore s’il soutint Macron en 2017 ; mais il traita les Gilets jaunes de « vermines ».
Je vous laisse imaginer comment ces gros cons peuvent ricaner sur Greta Thunberg lorsque les micros sont coupés.
Vous devinez sans doute que des gros cons de ce calibre, j’y pense lorsque j’écoute Georges BRASSENS.
L’avenir n’est pas de leur côté, heureusement !
7 janvier 2022