2019 11 04 : The Doors, qui connaît encore ?

The Doors, contrairement à d’autres groupes de rock ou de pop n’en finissant pas de tirer leur révérence, eut une brève existence musicale : 1966 – 1973.

Pour des raisons que je n’ai pas élucidées, j’ai totalement négligé ce groupe américain de son vivant et n’ai commencé à l’apprécier que quinze ou vingt ans post mortem.

Alors maintenant je me rattrape et l’écoute souvent, tant j’estime que dans sa production certes inégale (une dizaine d’albums, une centaine de titres) il est des chansons qui méritent la postérité.

Courte vie musicale de huit ans et pourtant je n’apprécie vraiment The Doors que pour leurs cinq premières années. La disparition précoce en 1971 de leur chanteur, poète, parolier, devenu un sex symbol, Jim Morrison, a induit, selon moi, une baisse sensible d’inspiration et d’originalité.

Je n’évoquerai certes pas ici la vie scandaleuse du groupe, la mort énigmatique de Jim Morrison ni l’adulation qui perdure de nos jours encore pour sa tombe au Père Lachaise : mon blog n’est pas un Voici – Voilà – Caca

4 novembre 2019

The Doors 1967 – Break on through (To the other side)

The Doors 1967 – Soul kitchen

The Doors 1967 – The crystal ship

The Doors 1967 – Back door man

The Doors 1967 – Alabama song (Whisky bar) (Bertolt Brecht, Kurt Weil)

The Doors 1967 – Light my fire

The Doors 1967 – Love me two times

The Doors 1968 – The unknown soldier

The Doors 1968 – Hello, I love You

The Doors 1969 – Touch me

The Doors 1970 – Ship of fools

The Doors 1971 – Cars hiss by my window

The Doors 1971 – The WASP (Texas Radio and the big beat)